tailieunhanh - Báo cáo khoa học: "Évolution saisonnière du potentiel hydrique et de la croissance de jeunes plants de Quercus rubra et de Quercus palustris au cours d’une sécheresse édaphique"

Tuyển tập các báo cáo nghiên cứu về lâm nghiệp được đăng trên tạp chí lâm nghiệp quốc tế đề tài: "Évolution saisonnière du potentiel hydrique et de la croissance de jeunes plants de Quercus rubra et de Quercus palustris au cours d’une sécheresse édaphique. | Ann Sci For 1995 52 67-79 Elsevier INRA 67 Article original Evolution saisonnière du potentiel hydrique et de la croissance de jeunes plants de Quercus rubra et de Quercus palustris au cours d une sécheresse édaphique J Timbal c Lefebvre INRA laboratoire d ecophysiologie et nutrition domaine de I Hermitage Pierroton 33610 Cestas France Reẹu le 24 mars 1993 accepté le 17 mars 1994 Resume Le chêne rouge Quercus rubra L est largement utilise en France pour le reboisement et son écophysiologie a déjà fait I objet de nombreuse etudes tant aux États-Unis qu en France. Le chêne des marais Quercus palustris Muench semble cependant pouvoir avantageusement le rem-placer dans certaines conditions si on en croit la réussite de certaines de ses introductions en parti-culier dans le Sud-Ouest de la France. Malheureusement ses caractéristiques écologiques et éco-physiologiques sont bien moins connues. Nous avons done compare sa resistance à la sécheresse à celle du Chêne rouge lors d une experimentation sur semis en conteneurs par arrêt de I irrigation soit après le premier cycle de croissance soit après le second. Les mesures ont porté sur les surfaces foliaires développées sur la croissance en hauteur en diamètre en biomasse et sur revolution sai-sonnière du potentiel hydrique. En condition d alimentation hydrique non limitante II n y a pas eu de difference de croissance entre les 2 espèces. En condition de sécheresse édaphique les 2 espèces ont adopté une stratégie se traduisant par une regulation stomatique assez précoce. Le chêne rouge a cependant été rapidement affecte mais faiblement tandis que le chêne des marais I a été plus tar-divement mais fortement croissance plus faible et surface foliaire plus réduite . Les potentiels hydriques atteints en phase de sécheresse ont été pour les 2 espèces de I ordre de -1 5 et de -2 2 MPa. Ces résultats sont conformes pour le chêne rouge aux données de la littérature et situent les 2 espèces dans une position relativement .

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